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Pour la 3ème fois réunis sous une bannière commune, ALT’, la Levée de la Loire, le Salon des vins Demeter, et le Salon des Vins de Loire s’est tenu les 3 et 4 février dernier à Angers.

La star britannico-américaine vue dans “Le Retour de Mary Poppins”, “Edge of Tomorrow”, “Oppenheimer” ou “Le Diable s’habille en Prada”, nous dévoile son amour pour les bons crus. Elle nous livre avec poésie ses réflexions en la matière et nous invite à apprécier le vin non seulement comme un plaisir gustatif, mais comme une véritable expérience culturelle et artistique.

Enclavé par le célèbre vignoble de Bordeaux et par celui - non moins renommé - du Languedoc, le territoire du Sud-Ouest est encore injustement ignoré du grand public. Pourtant, de la vallée du Lot jusqu’au piémont pyrénéen en passant par la Gascogne, cette grande région viticole recèle d’appellations qui méritent toute notre attention.

Présent dans cinq régions, Pacheca Group est devenue en moins de deux décennies un formidable porte-étendard du patrimoine viticole portugais. Fervents défenseurs de la richesse et de la qualité du vignoble, ils poursuivent un objectif bien défini : montrer au monde que le Portugal est la terre d’excellents vins. Et si aujourd’hui, les nectars du pays font parler d’eux, c’est aussi un peu grâce à eux…

Parmi les blancs de Bourgogne, Chablis marque ses différences en regard de ses « cousins » mythiques comme Meursault ou Puligny-Montrachet. L’appellation s’appuie sur une implantation géographique, un terroir et un climat spécifique, qui offrent une personnalité particulière, attractive, avec beaucoup de tension mais aussi une palette remarquable.

Elles s'appellent Margaux, Moulis, Pauillac ou encore Saint-Estèphe : ce sont les appellations communales du Médoc. Bénéficiant d'une renommée planétaire, elles incarnent l'excellence des vins de Bordeaux. Pourtant, face à une conjoncture économique mondiale dégradée et à un phénomène croissant de déconsommation, ces crus du vignoble bordelais peuvent-ils encore s'appuyer sur leurs atouts historiques pour s'imposer sur les marchés export ? Dans un marché en pleine mutation, la prime au terroir est-elle toujours un atout maître pour garantir leur survie et leur succès à long terme ?