Santé physique : 

Avec généralement autour de 12-13 % d’alcool, le vin peut être un poison quand il est absorbé trop souvent en grande quantité. Pourtant, c’est un aliment provenant d’un fruit, et il est transformé par des processus fermentaires naturels. Certains de ses composants tels que les tanins ou le fameux resveratrol, ont un effet bénéfique sur la santé, à la fois anti-oxydant, réduisant les risques cardio-vasculaires… Le « french paradox » désigne ainsi une espérance de vie accrue du buveur modéré comparée à l’abstinent total !

 

Joie et rôle social :

Mais le vin a depuis son invention d’autres propriétés, bénéfiques à la santé morale du consommateur. Ingéré modérément, il apporte de la joie au buveur qui peut ainsi faire face plus facilement à la rudesse que la vie lui réserve parfois. En société, l’aspect euphorisant et désinhibiteur joue un rôle important. Les grandes aventures humaines ont rarement débuté autour d’une bouteille de jus d’orange.

 

La chimie : 

Certains vignerons, comme d’autres agriculteurs, poussés par la facilité ou l’ignorance, utilisent bien trop de produits chimiques (sur les vignes et quand ils font le vin). Ces molécules, toxiques pour l’Homme, ne disparaissent pas comme par enchantement et se retrouvent alors en quantité trop importante dans leurs vins. Mais nombre d’entre eux deviennent vertueux que ce soient en agriculture raisonnée, biologique (affichée ou pas), ou biodynamique et font des vins bénéfiques à l’Homme.

C’est aussi l’ignorance du consommateur qui fait le lit de la chimie nocive. Renseignons-nous !